JEAN-PIERRE ESCARFAIL : LE CULTE DE L'ÉLÉGANCE
Jean-Pierre Escarfail est une personnalité du milieu associatif français, un commissaire d'expositions et un écrivain .
N'oubliez pas de cliquer sur les photos ou les textes pour les agrandir et qu'une flèche à gauche ou à droite vous permet de les faire défiler .
Les Parents de Jean-Pierre
Suzanne et Gerard Escarfail, les parents de Jean-Pierre.
Gerard et Suzanne Escarfail avec leur fille Elisabeth et leur fils ainé Jean-Pierre.
Jacques, le frère de Jean-Pierre.
Jean-Pierre
Jean-Pierre et sa soeur Elisabeth.
Jacques
Jean-Pierre
Jean-Pierre et son frère Jacques avec leur mère Suzanne Escarfail.
Son père Gérard Escarfail avec sa tante Christiane Magnificat et son oncle Jacques Vallery-Radot.
Jean-Pierre avec son grand-père maternel Eugène Manificat , grand ingénieur de l'industrie du papier. C'est par son père que Suzanne, la mère de Jean-Pierre, a rencontré son mari Gérard Escarfail qui travaillait également dans ce secteur.
Gérard Escarfail et sa fille Elisabeth, peinture de Pierre Isorni.
Avallon
Jean-Pierre Escarfail réside depuis plusieurs années (2002 /2003) à "L'Échauguette "sa propriété d'Avallon .
L'Échauguette
Photos Anne vallery-Radot. septembre 2022.
AVALLON
Pontcharra
Après un séjour aux Etats-Unis, Jean-Pierre Escarfail, ingénieur docteur ès sciences, a travaillé essentiellement dans l’industrie papetière et graphique, d'abord à la papeterie de Moulin-Vieux à Pontcharra, près de Grenoble. Papeterie familiale dirigée auparavant par son oncle Paul Escarfail.
A l'époque "Les Augustins", la Résidence des Escarfail à Pontcharra.
Roanne
En 1978 Il dirige les papeteries Navarre à Roanne où il est engagé pour restaurer la situation, réorganiser et développer cette entreprise de 700 personnes qui s'étaient mis en grève, l'année précédente, pendant quinze jours durant.
Avec un plan de licenciement de 200 personnes, il fallait trouver des emplois à ceux qui allaient partir, par exemple en Afrique dans une usine de fabrication de cahiers d'écoliers. Suivaient des réunions ou l'inspecteur du travail venait en gilet rouge et des manifestations dans la rue. Les ouvriers criaient :<<Escarfail en Afrique>> en marchant de l'usine jusqu'à la sous-préfecture (du préfet Érignac à l'époque). Il y eut une rencontre avec le délégué syndical dans une boite de nuit pour discuter du plan. L'usine a bien redémarré. Quatre ans plus tard, parmi les deux actionnaires, un hollandais et les papeteries Chapelle Darblay qui avait fait faillite, les hollandais ont pris le pouvoir.
Usine de transformation du papier en articles de papeterie .
Plus tard Jean-Pierre a travaillé dans le conseil chez McKinsey à la mise en place de plans stratégiques pour de grands groupes français, puis au Groupe Valeur.
Avallon
Dans sa maison d'Avallon .
(Cliquez sur les photos pour les agrandir)
JEAN-PIERRE ESCARFAIL, COMMISSAIRE D’EXPOSITIONS
J_P Escarfail organise des expositions d’art en Bourgogne dans la ville d’Avallon où sa famille a ses racines depuis le XIV ème siècle.
Jean-Pierre crée le premier Festival d’Art Chinois en France en 2016 et en 2018.
Dix ans d’art vivant à Avallon en Bourgogne
2005 : Peintres de Belgrade
Pour ces trois artistes, les rêves formels se veulent de vastes poèmes symphoniques où se rejoignent le passé et le présent. Lydia Harambourg - La Gazette de l'Hôtel Drouot
2006 : KIMIKO YOSHIDA
Kimiko Yoshida, née à Tokyo en 1963, vit en France depuis 1995. Elle expose régulièrement dans de nombreux musées, en Europe, et aux États-Unis.
Ses autoportraits monochromes évoquent la fragilité de l’être, l’absence, l’impermanence.
2009 : GEGORY CUMMINS
Ce peintre expose aussi bien à Paris et à Berlin, qu’en Grande Bretagne et aux Etats-Unis à Miami. Il a reçu le Prix Nicolas de Staël au 50ème Salon d’Art Contemporain de Montrouge et un prestigieux BP Portrait Award à Londres.
2010 : FRANÇOISE BISSARA-FREREAU
Membre de l’Académie des Arts du Dessin de Florence et de la Royal British Society of Sculptors, Prix de Sculpture de la Fondation de France, cette artiste, née au Caire, est profondément religieuse. « L’imaginaire et le visible se retrouvent pour entamer un hymne à l’harmonie, à la beauté qui participent de l’ordre universel ». Lydia Harambourg
2011 : ERIC MICHEL
Le travail d’Eric Michel s’appréhende par couches successives de sensations. Car si l’art conceptuel traverse son œuvre, celle-ci reste intimement liée au domaine du ressenti. La matérialité de la lumière nous absorbe jusqu’à nous plonger dans une profonde immersion propice à la méditation. Rébecca François, Musée d’Art Moderne et Contemporain de Nice.
2013 : RONALD MEVS
Né et vivant à Haïti, cet artiste à participé aux principales expositions internationales sur l’art haïtien contemporain : Abbaye de Daoulas, Halles St Pierre et Grand Palais à Paris... En trois décennies il a produit une œuvre abondante, riche, à la fois éclectique et puissamment cohérente.
2016 : FESTIVAL D’ART CHINOIS - FArC ® 10 Septembre au 13 Novembre 2016
Outre l’exposition d’art, divers évènements ont été organisés dans le cadre du Festival dArt Chinois - FArC ® par l’association Valorisation du Patrimoine Culturel en présence de Mr LI Shaoping, Ministre Conseiller Culturel de l’Ambassade de la République Populaire de Chine. Un concert a suivi le vernissage, ainsi qu’un dîner piloté par Marc Meneau et une présentation au Musée d’Avallon de la collection exceptionnelle de peintures taoïstes, costumes et bijoux en argent, Yao, Mien et Mun, minorité ethnolinguistique très ancienne qui trouve son origine en Chine.
Jean-Pierre Escarfail – Commissaire d’expositions jp.escarfail@gmail.com - +33 66 015 88 99
Pékin en 1961, Li intègre en 1980 l’Université de Relations Économiques avec l’étranger à Pékin où elle rencontre son mari, attaché à l’Ambassade de France. Après des études à Sciences- Po Paris et un DEA de philosophie à la Sorbonne, elle se forme dans diverses écoles d’art à Florence et Paris et obtient le diplôme de 3e cycle du Central Saint Martins College of Art & Design à Londres en 2007.
Li Chevalier travaille à la croisée des chemins entre l’Europe et l’Asie. « Avec l’encre, on peint sur toile et pas sur papier et on peint à l’envers : on part du blanc pour aller vers les nuances de gris. Le travail est plus difficile, car il n’y a pas de retouches possibles. ». Li Chevalier est « à la recherche de la beauté, troublée par la mort, en quête spirituelle, des silhouettes marchant vers l’au-delà, un point d’interrogation sur la ligne d’horizon ou une croix la reflétant ».
Parmi les expositions personnelles de l’artiste, notons des expositions au Musée D'Art Contemporain de Rome, à Venise et à Sienne en Italie ; « L’Art du Croisement » à la Base Sous- Marine de Bordeaux ; une installation monumentale intitulée « Cantabile Per Archi » composée de centaines d’instruments à cordes à l'Opéra National de Chine de Pékin, « Victor Segalen - Les Stèles de Lumière » à la Bibliothèque Nationale de Chine ; « l'Orient Poétique » au Musée National des Beaux-Arts de Shanghai et de Pékin ; « Symphonie de la vie » à L’Alliance Française de Pékin et « Contempler l'Orient » au Musée d'Art Contemporain de Pékin.
Li Chevalier est membre de la Société Nationale des Beaux-Arts de France, dont elle a eu la médaille d’or, et de la Société des Auteurs dans les Arts Graphiques et Plastiques, dont elle a obtenu un grand prix pour ses installations.
2022 Festival d'Art Chinois Avallon/vézelay
Jean-Pierre Escarfail, commissaire du Festival a reçu Leilei Tian le 21 août 2022 à la Collégiale Saint -Lazare d'Avallon pour un concert et Christian Lu pour un vernissage à la salle gothique entre la mairie et la Basique, à Vézelay.
Jean-Pierre Escarfail à la mairie d'Avallon avec des membres de L'ambassade chinoise dont M. Chen -Li ,le ministre auprès de l'ambassade Chinoise.
Jean-Paul de Parcevaux, Christian Lu, Jean-Pierre Escarfail et M.Chen-Li, ministre auprès de l'ambassade de Chine.
Christian Lu et Yvon Chu, le fils de Chu Teh-Chun.
François Raudot-de-Chatenay et Bernard Brizay.
A gauche Jean-Paul de parcevaux et à droite Christian Lu et Anne vallery-Radot.
Jean-Pierre Escarfail et Michel Prevotat.
Niels Escarfail, Anne vallery-Radot et Michel Prevotat.
Debout, M. Chen-Li ministre auprès de l'ambassade de Chine et assis au centre André Villiers le député de l'Yonne, à droite Isabelle Lu et Jean-Pierre Escarfail.
Anne vallery-Radot et Olivier Escarfail
Christian et Isabelle Lu , et Jean-Pierre Escarfail.
Discours d'André Villiers député de L'Yonne et Christian Lu.
Antoine Dufour, Michel Prevotat et Niels Escarfail.
VIE PRIVÉE
Avec sa première femme Yvonne, ils auront quatre enfants, Guy, Lorraine, Olivier et Pascale .
Sa première femme Yvonne avec les garçons d'honneur (cousins Escarfail ) et les petites demoiselles d'Honneur (Claire Vallery-Radot et Chantal Hattu)
Photo de Giovanni Trimboli: De gauche à droite, Lorraine, son père Jean-pierre, Marion sa deuxième femme avec leur fille Victoire et Guy, devant Pascale et Olivier .
De gauche à droite , Olivier, Pascale, leur mère Yvonne, Lorraine et Guy .
Les ainés Guy et Lorraine avec Olivier et Pascale
Olivier, Lorraine, Guy et Pascale.
Son fils Olivier avec son portrait peint par Pierre Isorni
Pascale
Lorraine et Pascale.
Jean-Pierre Escarfail Écrivain
Parution 28/07/23
Jean-Pierre Escarfail nous invite à une réflexion profonde sur l'état actuel de la démocratie en France. Avec une analyse perspicace et sans concession, il explore les défis auxquels notre société est confrontée et propose des solutions audacieuses pour un avenir meilleur. Il aborde des sujets aussi variés que l'intégration des minorités, l'autonomie régionale et la comparaison entre différentes régions du monde. Il souligne la nécessité d'un effort d'épargne sans précédent et d'investissements massifs pour créer des outils de travail pour les personnes sans emploi. Il discute également de la baisse du niveau de vie en France par rapport à l'Allemagne et de la possibilité que la France soit réduite au rang de pays du presque tiers monde si cette tendance se poursuit. Avec un regard critique sur les émeutes et les pillages en France, il suggère que la France est soumise à la dictature d'une frange de sa population qui veut simplement la détruire. Il propose que la France pourrait s'inspirer des réformes économiques lancées en Chine dans les années 1980 pour améliorer sa situation économique et sociale. Dictature de la canaille est un livre provocateur et stimulant qui défie les idées reçues et pousse les lecteurs à réfléchir de manière critique sur l'état de notre démocratie. C'est une lecture essentielle pour tous ceux qui s'intéressent à l'avenir de la France et à la santé de notre démocratie.
Parution 12/05/23
Début de pandémie ou malversation : la mort étrange de multiples victimes ayant consommé le jus d'orange Viva-Cola et le café Blackstar ? Or, la compagne d'un futur candidat à la présidence des États-Unis est sponsorisée par ces deux géants de l'agroalimentaire. Fils d'une de ces victimes, un neurobiologie, Franck, aidé d'un aime, hacker bienveillant, compare les scores régionaux du candidat avec ceux des allergies et s'aperçoit que les deux sont quasiment identiques. Sur fond de tentative d'OPA l'inquiétude s'installe chez les instigateurs. Ils font appel à leurs amis mafieux et aux triades chinoises. Franck sera éliminé. Sa soeur Kelly, américaine par son père et chinoise par sa mère, n'a qu'une idée en tête : venger son frère et affronter tous les dangers pour prouver la vérité. S'ensuit une véritable chasse à l'homme qui donne lieu à filatures, courses poursuites, bagarres, fusillades et meurtres, à New York et Atlanta, à Canton et Hong Kong, ou encore Zürich et Zermatt. Cette ancienne de la CIA réussira-t-elle à échapper à tous les guet-apens ? Ce roman nous dévoile les ressorts de l'influence possible - mais alors considérable - des lobbies sur la haute fonction publique et les dirigeants politiques
Président de l'Association pour la Protection contre les Agressions et Crimes Sexuels (APACS) qu’il crée en 2001 , après l'assassinat de sa fille Pascale ,avec d’autres familles de victimes, Jean-Pierre Escarfail milite pour les droits des victimes de violences sexuelles. Il est membre d’une Commission pluridisciplinaire des mesures de sureté du Ministère de la Justice.
L'association est aujourd'hui composée d'une cinquantaine de membres qui désirent aider les jeunes femmes victimes de violeurs en série et luttent pour la mise en place de diverses mesures auprès des instances publiques. Des projets qui lui tiennent vraiment "En 15 ans, grâce à un travail acharné auprès des politiques et des institutions, de grandes avancées juridiques ont eu lieu pour évaluer et maîtriser la dangerosité des agresseurs et améliorer les droits des victimes. " explique Jean-Pierre Escarfail "J'ai voyagé dans des pays où des dispositifs comme le bracelet électronique et la rétention de sûreté sont utilisés avec succès. Grâce à de nombreux soutiens, il a été possible de persuader les décideurs français de les mettre en application ici, afin de lutter plus efficacement contre la récidive et protéger des futures victimes de dangereux criminels."
l'APACS a été témoin de plusieurs évolutions majeures en matière de défense, comme la création duFNAEG ( fichier national automatisé des empreintes génétiques ) qui a permis de résoudre de nombreuses affaires criminelles, "et donc d'éviter d'autres victimes." Mais pas seulement. En 2005, L'association a aussi contribué à la création d'une loi relative au traitement de la récidive des infractions pénales. "Trois de nos propositions ont été incorporées dans ce texte: lebracelet électronique, l’évaluation de la dangerosité des criminels et la rétention de sûreté." précise Jean-Pierre Escarfail. Pour finir, l'acharnement de son équipe a aussi été bénéfique à un réel progrès des droits des victimes avec notamment la mise en place d'un "juge des victimes" et d'une "délégation des victimes" de la part du Ministère de l'Intérieur.
Pascale Escarfail
le 24 janvier 1991 sa fille Pascale fut, à 19 ans, assassinée, violée et torturée par Guy Georges, « le tueur de l'Est parisien ».
Guy Georges repère Pascale Escarfail, 19 ans, dans une rue de Paris avant de la suivre jusqu'à chez elle et de la tuer. Elle sera la première des sept victimes du tueur en série, arrêté seulement 7 ans plus tard, au terme d'une longue traque qui a mobilisé, sur la fin, près de 4000 policiers.
A l'audience, en 2001, le tueur a raconté : « Devant un immeuble, elle a composé un code et, comme la porte était longue à se refermer, je me suis glissé derrière elle. Je l'ai doublée dans l'escalier pour monter au dernier étage car je ne voulais pas l'inquiéter de suite. En haut, elle m'a demandé ce que je voulais. J'ai déplié mon couteau, un gros Opinel n° 12. Je lui ai répondu : 'Toi.' Je lui ai demandé d'ouvrir la porte. J'ai fermé les stores. Je l'ai attachée avec du sparadrap acheté le jour même car l'idée de faire ces choses me trottait dans la tête. »
Le président a, selon le compte rendu de « Libé », détaillé les sévices, le viol, l'incision à la gorge... Guy Georges a continué :« Elle a dit : 'Qu'est-ce que tu fais ? Tu me tues ?', j'ai porté encore deux ou trois coups, j'agissais à l'instinct. Elle a mis trois ou quatre minutes à mourir. Je suis allé me laver les mains. J'ai pris deux bières sous l'évier, j'en ai bu une. »
Ce jour-là, son père,J-P Escarfail, ce notable d'Avallon à la veste en tweed et à l'air doux, a plongé dans l'horreur mais pas dans l'inaction. Depuis, il s'est battu pour que « cela ne recommence pas ».
Adhérent de l'Association contre la peine de mort -« difficile d'être pour la mort quand on milite pour sauver des vies » -, il ne parle pas de vengeance, mais de soins, de prévention de la récidive, de prise en charge des victimes, d'amélioration de l'utilisation des empreintes génétiques. « Nous n'aurons pas lutté en vain », dit-il.
Le film policier L'affaire SK1, raconte la longue traque du jeune inspecteur Franck Magne qui va pister sans répit et durant presque une décennie un insaisissable violeur et tueur en série. Le film est inspiré de l'interminable enquête qui a conduit à l'arrestation puis la condamnation du "tueur de l'Est parisien", le serial-killer Guy Georges. Son scénario a été écrit avec l'aide de la journaliste Patricia Tourancheau, qui a suivi l'affaire pour Libération ainsi que par "Charlie", alias Franck Magne (joué par Raphaël Personnaz) l'un des policiers qui a traqué Guy Georges.
Guy Georges, enfant abandonné d'une barmaid et d'un soldat américain, a connu une enfance compliquée, marqué par plusieurs tentatives d'agressions dont l'une lui a valu une condamnation à un an de prison en 1980. Devenu prostitué à Paris, Guy Georges va commettre son premier vrai crime en novembre 1981 : il a agressé, violé, poignardé puis laissé pour morte une jeune femme qui rentrait chez elle. En 1982, il récidive sur deux autres jeunes femmes. Celles-ci, comme la première, survivent. Condamné à 10 ans de prison, Guy Georges bénéficiera au début des années 90 d'un régime de semi-liberté. C'est en janvier 1991 qu'il perpétrera son premier viol suivi de meurtre sur Pascale Escarfail, 19 ans.
Guy Georges commettra par la suite six autres meurtres et pas moins de quatorze autres agressions. Le tueur frappant sans logique, plusieurs groupes de la brigade criminelle le traquent, sans que les affaires ne soient reliées les unes aux autres. Martine Monteil, la nouvelle patronne de la brigade criminelle, entre en fonction en 1996 et forme une équipe conjointe. A une époque où le fichier génétique des délinquants sexuels n'existait pas encore,Martine Monteil s'est entendu avec différents laboratoires de police scientifiques pour recouper officieusement leurs informations. La manoeuvre permettra d'enfin identifier le code génétique de Guy Georges, baptisé "SK1" pour "serial-killer 1". Guy Georges sera arrêté le 26 mars 1998 dans le nord de Paris. C'est seulement durant son procès que le tueur en série reconnaîtra, le 27 mars 2001, être l'auteur des crimes. Cet aveu, obtenu devant les Assises de Paris plus de 10 ans après son premier crime, lui vaudra une condamnation à perpétuité avec période de sûreté de 22 ans.
Le tueur et violeur en série est incarcéré à la centrale d'Ensisheim.
Un viol toutes les cinq minutes. Plus de cent mille femmes et enfants violés chaque année en France. Dans quelle société vivons-nous ? Pour juguler cette pandémie, que font la police, la justice, la médecine, l'éducation, la solidarité ?
Pourquoi mettons-nous quinze ans à mettre en place ce que nos voisins font en deux ans ? Plongez au cœur d'une administration qui se ligote elle-même pour ne pas bouger. Ecoutez les vociférations de ceux qui considèrent les victimes comme coupables.
Observez les psychiatres ignorant les méthodes de soin modernes. Pourtant des solutions existent pour répondre aux attentes de ceux qui risquent d'être confrontés à cette violence : nous tous. Voici l'analyse et les propositions de Jean-Pierre Escarfail.
« Me dire que Pascale n'est plus nulle part c'est terrible. »
Escarfail vient d'écrire un troisième livre plutôt philosophique : « Assassinée, tu vis dans l'éternité ». L'auteur y explore les notions de relativité.
« La distinction entre passé, présent et futur n’est qu’une illusion persistante et stupide »
Partant de cette citation d’Einstein, Jean-Pierre Escarfail a mené une réflexion sur le temps, la vie et surtout l’après-vie.
Pour vous, il-y-a-t-il une vie après la mort ?
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NICOLAS SARKOZY
"L'important, c'est qu'on ne laisse pas sortir des gens dangereux de prison sans soins", a déclaré le président de l'Apacs, un point d'accord avec le chef de l'Etat, au sortir de la réunion consacrée à la loi sur la rétention de sûreté
En 2008 ,Jean-Pierre Escarfail, président de l'Association pour la protection contre les agressions et les crimes sexuels (Apacs), reçu lundi 3 mars à l'Elysée a déclaré que Nicolas Sarkozy et eux étaient "sur la même longueur d'onde", estimant que les criminels devaient recevoir des soins avant de recouvrer la liberté. Cette rencontre, où était également convié l'association Victimes en série (VIES), des victimes et des familles de victimes, était destinée à faire le point sur la mission confiée le 22 février par Nicolas Sarkozy au Premier président de la Cour de cassation Vincent Lamanda pour améliorer le dispositif de rétention de sûreté, dont le Conseil constitutionnel a censuré le caractère rétroactif. Cette mission doit durer trois mois.
"L'important, c'est qu'on ne laisse pas sortir des gens dangereux de prison sans soins", a-t-il dit.
Sur ce sujet, Nicolas Sarkozy et les associations sont "complètement sur la même longueur d'ondes", a souligné Jean-Pierre Escarfail.
Lors de la rencontre, Nicolas Sarkozy "a rappelé qu'il avait pris un certain nombre d'engagements à l'endroit des familles des victimes et des associations et qu'il entendait bien les tenir", selon le porte-parole de l'Elysée David Martinon
"Il a dit qu'il voulait mettre les victimes au coeur de tout". Le chef de l'Etat a donné rendez-vous dans quelques semaines aux associations pour refaire le point, notamment sur les projets d'hôpitaux-prisons.
"Il nous a dit qu'on allait continuer à travailler sur le sujet pour trouver des moyens constitutionnels pour progresser sur ce chemin", a déclaré Jean-Pierre Escarfail, président de l'Association pour la protection contre les agressions et les crimes sexuels (APACS).
Le président de l'APCS a ajouté qu'il n'était pas question de réviser la Constitution, contrairement aux déclarations faites la semaine dernière par la porte-parole de l'UMP Nadine Morano, mais de "faire quelque chose" sur les remises de peine
Nicolas Sarkozy dans son livre "Passions" à écrit un paragraphe sur Jean-Pierre:
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Jean-Pierre avec Nicolas Sarkozy
Anecdotes et souvenirs
De gauche à droite, son grand-père Eugène Manificat, Marie du Carme Escudier (femme de Jean-Philippe), Jehanne Bernanos (Femme de Georges), sa grand-mère Elisabeth Manificat (femme d'Eugène), et devant son oncle Jean-Philippe Escudier, Georges Bernanos (un grand-ami des familles Vallery-Radot, Manificat , Escarfail et Escudier, tous cousins ) et sa tante Christiane Manificat .
La tante de Jean-Pierre, Christiane Manificat (soeur de sa mère Suzanne)
En juin 1940 quittant Avallon pendant l'exode avec sa grand -mère Elisabeth Manificat -Dordet qui conduisait la 11 chevaux et sa tante Christiane manificat, des avions allemands ont mitraillé la foule de gens qui fuyaient vers le sud à Bordeaux, et Jean-Pierre fut protégé par ces dernières qui se sont couchées sur lui dans un fossé .
Ce souvenir, de ce qu'on lui a raconté, reste gravé dans sa mémoire comme le symbole le plus fort de la protection des deux femmes qui voulaient lui sauver la vie .
Sa grand-mère maternelle Elisabeth Dordet-Manificat, photo de Man Ray.
Autre souvenir de la guerre, la maison d'Avallon était coupée en deux , les allemands au rez-de-chaussé et ses grands parents au premier étage (soi dit en passant, les allemands ont d'ailleurs bu tout le bon vin de la cave, les Manificat n'ont retrouvé que des bouteilles cassées). En 1942 ou 43, Jean-Pierre était dans le train avec ses parents son frère et sa soeur pour se rendre à Avallon la nuit dans des couchettes .Sa soeur n'avait pas de permis, elle voyageait incognito cachée sous une couverture dans une couchette du haut, ses cheveux dépassaient de la couverture, un allemand est rentré pour vérifier les permis de franchir la frontière, il a vu les cheveux mais il n'a rien dit ....... c'était un gentil allemand .
A l'Echauguette , portraits de Suzanne Escarfail avec sa fille Elisabeth et dessous portait de Christiane Manificat (peintures de Pierre Isorni)
Souvenir des Italiens ,alliés des allemands ,arrivés de leur pays à Pontcharra entrain de défiler avec une allure martiale ,mais manifestement pas des combattants .
Derrière le jardin de la propriété des Augustins, il y avait un pré ou la cuisinière du campement allemand cuisinait des pommes de terres .Ces pommes de terre étaient celles du potager des Escarfail .
Pour la petite histoire il fut dit à Jean-Pierre que les allemands étaient des doryphores qui mangeaient leurs pommes de terre .
Au moment ou ils sont partis en 44 , Jean-Pierre avait 6 ou 7 ans ,des soldats qui devaient avoir 17 ans voulaient prendre la bicyclette de sa mère Suzanne, et Norma la nounou s'est interposé. Ce souvenir est très précis pour Jean-Pierre .
Les souvenirs les plus agréables restent ceux des fêtes de Noël, << on attendait les cadeaux qui arrivaient par la cheminée.>>
Un souvenir moins agréable <<du foie de veau>>que Jean-Pierre n'arrivait pas à mâcher car il y avait des nerfs épouvantables, son père le forçait à manger et l'envoya à la cave avec son assiette qu'il fallait absolument qu'il finisse, il a planqué le foie de veau dans la terre et il a pu sortir !!
On fabriquait du savon avec de la graisse de porc qu'il saponifiait avec de l'acide sulfurique ( comme J-P a fait des études de chimie plus tard à Zurich cela ne lui pose pas de problème de savoir comment on fabrique du savon )cela avait une odeur très particulière, souvenir olfactif ....
J-P allait à l'église très régulièrement le dimanche mais n'était pas particulièrement religieux , il s'intéressait plutôt aux jolies filles qui était dans l'assistante qu'à ce qui se passait à l'autel .
J-P a plongé dans la littérature quand il a commencé ses études de chimie à Zurich. Quand il venait de Pontcharra ou y retournait il y avait 5 ou 6 heures de train. Il en a profité pour lire pratiquement tous les auteurs russes ,Dostoievski,Tolstoi mais il garde surtout en tête "les mémoires d'un chasseur " d'Ivan Tourgueniev .
Son fils Olivier me lit un article du journal local d'Avallon :
<<Il y a bien Longtemps, dans les années 60, quand les cloches de l'église Saint Lazare sonnent à tout volée>>
<<En pleine nuit jeudi, vers trois heures du matin, les habitants étaient subitement tirés de leur sommeil par le bruit des cloches de l'église sonnant à toute volée !! que se passait-il ?? On ne pouvait que s'interroger et faire des suppositions, mettre le nez à la fenêtre, pour guetter un renseignement c'était encore possible mais se lever et sortir dans la rue dans la nuit noire et sous la pluie qui tombait abondemment, c'était vraiment trop demander.Aussi posément dans leur lit, les Avallonnais attendait patiemment que le bruit des cloches, qui, soit dit en passant, n'avait rien de lugubre, s'arrêta. Mais les cloches sonnaient toujours, et pendant près d'une heure, elles firent retentir dans l'air leur sonorité, qui semblait annoncer, l'imagination aidant, un évènement. Au premier bruit, monseigneur l'archiprêtre s'était naturellement précipité vers son église, mais la porte du petit portail était fermée par le verrou intérieur, toutes les autres portes avaient également été fermées.La situation devenait sérieuse, et monseigneur n'eut d'autre ressource que d'alerter les gendarmes.Mais tout ceci demanda un certain temps et lorsqu'il fût possible de pénétrer à l'intérieur de l'église de longues minutes s'étaient écoulées. Le premier soin des arrivants fût d'arrêter le courant électrique qui avait déclenché le mouvement des cloches et quand celles ci se firent tut,on se mit à une fouille minutieuse de l'église et même du clocher, la recherche fût infructueuse, on peut certes supposé que les cloches se soient mis en action accidentelle, mais comment expliquer que le verrou de la porte d'entrée avait été poussé de l'intérieur.Il semble plus plausible, en effet, de croire qu'un ou plusieurs mauvais plaisants aient pénétré au cours de la nuit, à l'intérieur de l'église en utilisant une fausse clef, ils auraient, ensuite, fermé la porte derrière eux, en poussant le verrou intérieur, puis mis en marche l'installation fonctionnant des cloches pour, ensuite, sortir de l'église par une issue quelconque.Si cette hypothèse est la bonne, on peut dire que les acteurs de cette plaisanterie de mauvais gout ont largement dépassé la mesure.>>
Jean-Pierre continue le récit de son fils :
<< En fait c'était une idée de mon frère, Jacques, qui avait fabriqué un passe partout, en plus il avait trouvé un passage secret, qui menait à un escalier, qui est sur le côté de l'église, et qui va directement dans le toit.Ils sont donc monté par là, c'était la veille de la Pentecôte, vers 23 heures/minuit , ils ont traversé tout le toit, entre l'abside et le toit, ils sont redescendu par l'escalier ou il y a les commandes électriques des cloches. Avec du papier mâché, ils ont bouché toute les serrures, puis ils ont démarré toute les cloches, cela faisait un bruit effrayant, ils sont vite sorti et rentré chez eux. Au bout de trente minutes, ils ont entendu leur père qui appelait le curé. Le lendemain, c'était la messe ou plusieurs policiers étaient présent avec des chiens , puis un déjeuner de famille ou tout le monde ne parlait que de ça et Jacques et Jean-Pierre se tordait de rire, dans leur coin. Et, finalement,comme manifestement, les garçons savaient quelque chose, on les a interrogé, et ils ont fini par dire que c'étaient eux. Et toute la famille a ri de bon coeur...>>
Jean-Pierre avait 22 ans
À la gauche de Gerard Escarfail, Claude Rothschild, la fille de George Mandel ;
Jean-Pierre me parle du père Bruckberger qui est venu le voir à Bure avec une somptueuse voiture américaine (une ford mustang blanche) ,après sa séparation d'avec sa première femme Yvonne . Sur le coffre à la place du sigle Ford il y avait une croix , cela l'a marqué.
Jean-Pierre a su après quand il a lu le dernier livre de Bruckberger <<A l'heure ou les ombres s'allongent"qui raconte toute sa carrière de Dominicain et parle aussi de ses maitresses que c'est sa deuxième maitresse ,une américaine ,qui lui avait offert cette voiture .
Les petites filles Mauriac avec Jacques Escarfail qui porte un chapeau , le frère de Jean-Pierre .
Jean-Pierre a bien connu la fille de Francois Mauriac, Luce qui a épousé le fameux général Leray, qui s'était évadé d'une forteresse allemande et dont le récit colle à celui du film "La grande Évasion"de John Sturges. Il était devenu le chef du maquis du Vercors. Luce habitait Poncharra chez les Escarfail pendant que sont mari dirigeait le maquis.
Jean-Pierre et Françoise Leray
Jean-Pierre en Mongolie
2014-Balade Mongole: Oulan Bator, Kvod, Komyn Tal, Seer.
Départ vers les steppes
Le Naadam, une institution.
Arrivée dans l’après-midi chez Narangerel qui va nous héberger pendant trois jours
Un troupeau de chameaux chez Shirev, la steppe les entoure sur 360°.
Voyages en Chine
Quant Jean-Pierre était enfant on l'appelait "le Mongole",il a toujours été fasciné par l'Asie. D'ou ses voyages en Mongolie et en Chine et aussi le festival d'Arts chinois organisé à Avallon.
Durant le dernier voyage, jean-Pierre a rencontré, son amie de coeur, pianiste, Nie Xiaoping.
Nie Xiaoping (Mimi).
Ses amitiés
Nous parlons de ses amitiés .
Ses amitiés de jeunesse. A Zurich Gérard de Grunne, un ami belge qui n'allait jamais aux cours mais réussit tout de même a avoir son diplôme d'ingénieur et mourut assez jeune . Un autre ami, Lucien Preuss, qui voulait avoir le prix Nobel de physique et avait un bateau "un Star" sur le lac de Zurich, ce qui permit à J-P de commencer la navigation, son autre passion, avec l'équitation.
Jean-Pierre avec Jean-Pascal Hattu, le fils de Guy Hattu
Guy Hattu (neveu de Georges Bernanos ), sa femme Brigitte et leurs enfants furent de grands amis de J-P, ils ont habité Bures sur Orgeval au même moment.
Ses amitiés d'Avallon.....
Avec ses amis, Edouard et Alix de Vienne et leur fille Inès, Jean-Pierre a fait de nombreuses randonnées à cheval, en partant d'Époisses et sont même allé jusqu'en Corrèze.
Ses amitiés de bateau
Gilles Breguet qui l'a emmené en Haiti ...ils ont traversé l'Atlantique ensemble .
Sa famille
De gauche à droite Lucas, son petit fils (Fils de Lorraine et Olivier Cojot ), Jean-Pierre, sa cousine Anne Vallery-Radot, Olivier Cojot, son gendre avec Lorraine sa fille.
Sa fille Lorraine et son mari Olivier Cojot
Lorraine et Olivier Cojot
Lorraine et Olivier ont trois enfants : Léa, Coralie et Lucas
Léa, Lucas et Coralie
Léa et Coralie
Lorraine et sa fille Léa et à droite Lucas, Léa et leur mère Lorraine
Les familles, cousins germains : Escarfail, Vallery-Radot et Escudier sur trois générations.
Son fils Guy et sa Femme Fred
Guy et Fred
A droite Guy, le fils ainé de Jean-Pierre
La Belle fille de Jean-Pierre, Fred, la femme de Guy
Guy et Fred ont trois enfants :Ambre, Jade et Niels ;
Jade et Ambre, les filles de Guy et Fred
Fred, Ambre et Guy
Niels et Ambre
Ambre, Niels, Fred, Jade et Guy.
Sa fille Victoire
Jean-Pierre et sa fille Victoire .
Victoire a trois enfants: Beryl, Vadim et Romy.
Victoire avec Vadim et Beryl.
Victoire avec sa fille Romy , née en été 2022.
Son fils Olivier
Anne Vallery-Radot ,Olivier Escarfail et Lorraine Escarfail
Olivier Escarfail et Jean-Pascal Hattu
La famille de Jean-Pierre pendant le confinement
En haut, de gauche à droite, son fils Olivier, sa fille Victoire avec ses enfants, Beryl et Vadim, Lorraine et Olivier, en dessous, la fille de Lorraine et Olivier Cojot: Léa , au centre Niels et Jade, enfants de Guy et Fred, à droite jean-Pierre, en bas Ambre et son père Guy, puis Coralie, la fille de Lorraine et Olivier Cojot.
De gauche à droite sa fille Lorraine, son fils Olivier et sa fille Victoire
Je finirai par ces phrases de Nicolas Sarkozy qui correspondent bien à l'homme qu'est jean-Pierre :
<<(.......) Mais l'homme est resté d'humeur égale, souriant fréquemment, d'une exquise courtoisie, ne prononçant jamais la moindre parole de revanche ou de haine.L'unique but de ce "saint" homme est "que cela ne puisse plus se reproduire, que plus aucune jeune fille ne connaisse le martyr de sa fille (.....) Curieusement cet homme, qui avait connu l'enfer, m'apaisait par sa force simple et sa tranquille assurance de mener un combat juste ....>>
Nous ne connaissons jamais vraiment complètement les gens mais ce que je peux dire c'est que Jean-Pierre est un de ces derniers gentlemen que j'ai le plaisir de côtoyer et que sa présence est toujours chaleureuse .Anne VR
Cousine de Jean-Pierre , ma grand-mère paternelle, Paule Dordet était la soeur de la grand-mère maternelle de Jean-Pierre, Elisabeth Dordet , voir les arbres généalogiques dans l'article "Jacques Vallery-Radot dans la catégorie Artistes peintres .
Les trois soeurs Dordet
Elisabeth Dordet qui épouse Eugène Manificat, ils ont deux filles.
-Suzanne qui épouse Gerard Escarfail, ils ont trois enfants, Jean-Pierre, Elisabeth et Jacques
-Christianne célibataire
Paule Dordet qui épouse Robert Vallery-Radot, ils ont cinq enfants .
-Jacques qui épouse Jeanine Guepratte, ils ont sept enfants, Pascal, Anne, Bernard, Benoit, Claire, François et Sabine.
-Marie qui épouse Max Brusset, ils ont cinq enfants, Rémy, Dominique, Thierry, Jacqueline et Olivier.
-François, missionnaire, père du Saint-Esprit.
-Sabine qui épouse Michel Maillard, sans postérité.
-Monique, Soeur Catherine-Dominique chez les Dominicaines .
Hélène Dordet qui épouse Pierre Escudier, il ont un fils unique, Jean-Philippe.
-Jean-Philippe qui épouse Marie du Carme de Noronha, ils ont quatre enfants, Jean-François, Richard, Yves et Gilles .
ANNE VR (-_-)XXX
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